pastel sec, 33 x 45 cm, 2011
Une variation sur L’Île des Morts de A. Böcklin. L’île est lointaine, à peine visible. Le cœur du tableau, c’est la barque vide qui vient de l’ombre. Barque ou bois flotté, épine, blessure au fil de l’eau. La mèche qui met le feu à l’île là-bas.



